Lors de nos précédents articles, nous avions donné la parole à la Maison de Pressy elle-même, cette « grande Dame » de Vandœuvres, âgée de 150 ans ; elle nous avait raconté sa passionnante histoire et fait découvrir son magnifique environnement, un parc aux arbres centenaires agrémenté d’une mare et d’une multitude de fleurs aussi belles qu’odorantes, ainsi que sa vue imprenable sur le Mont-Blanc.
Puis, nous avions pu lire les témoignages de résidents, qui nous avaient fait partager leur quotidien, leur vie à la Maison de Pressy, leurs projets, car à tout âge on a des projets ! Leurs moments de joie avec leurs familles lors de brunchs organisés par la résidence ou leurs repas, raclette et fondue, avec le personnel en hiver ; leur plaisir lors des ateliers proposés par notre service d’animation, concerts, art-thérapie, gymnastique douce, sorties… tant d’activités qui leur apportent du bien-être et les aident à préserver leur autonomie. Les résidents sont la priorité de la Maison de Pressy, le sens de son existence et le personnel a bien sûr son importance primordiale.
La Résidence fonctionne avec trois partenaires : la CSI pour les soins infirmiers, en lien avec les médecins ; Keycare pour les soins de base prodigués par les aides-soignantes,s et Eldora pour la cuisine. Nous les remercions pour la remarquable qualité de leurs prestations et la belle collaboration entre nous tous.

Parole maintenant
aux employés de la Maison
de Pressy à qui nous posons
cette question :
« Que représente pour vous
la Maison de Pressy ? »

JHI : Cette magnifique maison, où j’ai la chance de travailler, m’offre de grandes libertés de créativité et de développement d’idées, au sein de mon service, en faveur des résidents; grâce à elle je me suis transformé et transcendé, je ne suis pas la même personne qu’il y a 11 ans.

SR : A Pressy, je me sens chez moi, l’atmosphère est agréable et familiale.
Nous sommes tous là pour les résidents, disponibles et attentionnés.

TZ : Une décade à la Maison de Pressy ! Entourée de mes collègues, tous avec le même but, nous faisons notre maximum pour que les résidents se sentent le mieux possible. Nous sommes aussi leur fenêtre sur l’extérieur.
Dans chacun d’eux, je vois le visage de mes propres parents, vus périodiquement ces 30 dernières années car ils vivaient bien loin d’ici ; je me posais toujours des questions : ont-ils bien dormi ? Sont-ils heureux ? J’ai les mêmes préoccupations pour les résidents. La Maison de Pressy est devenue ma deuxième maison.